jeudi 5 mai 2022

Après la rupture de stock, le futur de choc !

 


Le Pogonotome™ produit depuis l’année dernière voit désormais son stock épuisé. 

J’ai été un peu dépassé par les évènements car les remontées amicales et autres critiques constructives de la version 2021 m’ont encouragé, et bien sûr je me suis à nouveau penché sur la planche à dessin.

Ce taille-barbe trouvera vite sa place dans les classiques pour l’homme, c’est moi qui vous le dit !

Le site web de la boutique définitive ainsi que la production en nombres du nouveau modèle ne sauraient tarder.

Comme vous le savez peut-être, la conception, la production et la boutique de vente sont réalisées en interne. Alors tout est affiné aux petits oignons, concocté avec amour, et saupoudré de passion intense.

Encore quelques semaines de patience, vous ne le regretterez pas !






dimanche 26 septembre 2021

Le Pogonotome™, le Making… OFF !


Mon talent de monteur vidéo restant encore à prouver, j’ai pensé que rien ne vaut la spontanéité de l’instant, la fraîcheur de la prise en plan séquence, et la classe naturelle non dissimulée, prise sur le vif (c’est-à-dire tant que l’acteur est encore en vie), le tout sans aucun trucage, ce qui est difficile à croire, je sais.

Bref, voilà quelques explications et démonstrations du Pogonotome™.
Passez un bon moment !

Les coulisses du tournage 1/3 :

« La belle vue. »


Les coulisses du tournage 2/3 : 

« La mode de l'emploi. »


Les coulisses du tournage 2bis/3 : 

« Les invités, comme chez eux. »


Les coulisses du tournage 3/3 :

« Le Pogonotome™, en vrai. »






dimanche 12 septembre 2021

Il s’agit de soja !



Elle est parfaite, cette résine.

Belle (je devrais même dire magnifique),
solide,
durable,
et cerise sur le gâteau, biodégradable.

À base de plantes (le fabuleux soja pour ne pas le nommer) elle annonce en plus la possibilité de fabrication locale du Pogonotome™ sur Toulon ici en France bien sûr, et également à terme la même possibilité de fabrication locale du Pogonotome™ partout dans le monde ! *

*Les ambitions, c’est comme les idées : elles ne doivent jamais être trop étriquées ^^

En attendant cette chaîne vertueuse d’une production universelle et d’une utilisation généralisée du Pogonotome™ par tous les baroudeurs chics et cultivés du monde, elle permettra une fabrication artisanale locale et un envoi à l’échelle planétaire de cette invention originale pour le coût d’une simple lettre.

Ceux qui suivent de près l'aventure via les réseaux sociaux savent déjà que bien que je me sois adressé aux meilleurs européens pour la fabrication du Pogonotome™ en injection plastique, des problèmes de qualité m'ont finalement amené à trouver une autre solution que ce type de fabrication relativement traditionnelle, mais finalement trop lourde et coûteuse pour l'agilité entrepreneuriale que réclame notre époque.

Grand bien fut fait, car désormais la fabrication additive en résine biodégradable sans BPA du Pogonotome™ devient simplement une réalité.





dimanche 22 août 2021

Nom de code : Pogonotome™


Image de la R&D / Pogonotome™

Ceux d’entre vous qui suivent cette aventure depuis quelque temps savent que le Pogonotome™ est l’évolution du Stubbleer™.

(Mais c’est quoi tous ces noms bizarres, vous ne pouvez pas faire plus simple, saperlipopette ? )

Depuis des années je travaille sur ce projet, et les peaufinements successifs se sont portés sur la R&D comme sur la communication, dont les appellations font partie, évidemment.

Le nom “Pogonotome” fait référence au nom de l’art de se raser, la “pogonotomie”, sanctuarisé par un texte du XVIIIe siècle écrit par l’inventeur du premier rasoir de sureté dit “rasoir à sabot”, un certain Jean-Jacques Perret : “la Pogonotomie ou l’art d’apprendre à se raser soi-même”.

Je trouvais ce nom bien sympathique, alors j’ai utilisé son dérivé “Pogonotome™” pour la reprise du projet du Stubbleer™, dont le crowdfunding, tombé en plein milieu du premier confinement pour la COVID19 en 2020, avait évidemment échoué, sans pour autant me décourager de continuer cette entreprise.

Il reste que la désignation d’une “barbe de trois jours” dans le monde se fait de plus en plus par le mot anglophone “stubble”, et que l’appellation que j’avais précédemment développée s’adapte particulièrement bien à l’ustensile que j’ai inventé et qu’elle désigne, à savoir le Stubbleer™… Donc un retour en force et aux sources pour cette désignation de l’appareil en question !

Vous pouvez utiliser le nom de code du projet en cours (Pogonotome™) ou le nom qui évoque directement le rôle de l'objet (Stubbleer™) sans aucune contrainte :

Les deux désignent la même chose, ce merveilleux et très pratique taille-barbe avec lequel vous pourrez vous sculpter votre stubble comme tout baroudeur chic et cultivé se doit de le faire, dans un seul geste à la fois beau et puissant, générateur de “Oh!” et de “Aaaah!” de la part de celles et ceux qui auront le privilège de le voir à l’œuvre.

Voilà, c’est tout ce que je voulais vous dire aujourd’hui.
Mais il fallait que le vous le dise.





jeudi 1 juillet 2021

Où en est le projet Pogonotome™ ?

(English version below)

Réalisée maison avec uniquement des voix de synthèse, assistées d'IA (si, si), une petite vidéo de moins de 2 minutes pour vous informer sur le projet.

Ceci n'est pas une pub, c'est une communication 😊


///////////////////////

Made in-house with only synthetic voices, assisted by AI (yes, yes), a short video of less than 2 minutes to inform you about the project.

This is not an advertisement, it is a communication 😊





mardi 1 juin 2021

Pré-série du Pogonotome™



Le dernier modèle du Pogonotome™
Voici le dernier modèle du Pogonotome™


Hier était un grand jour.

J’ai lancé la production de la pré-série, dont les premiers exemplaires devraient arriver dans quelques semaines seulement.

Il ne me reste plus qu’à créer le site web, peaufiner le packaging, étudier et mettre en œuvre les derniers détails de sa mise sur le marché.

Allez les amis, encore un peu de patience, le Pogonotome™ sera bientôt disponible !





jeudi 20 mai 2021

Le Pogonotome™ et sa contre-dépouille



J’ai bien cru que j’allais enfin faire partir la production de la pré-série du Pogonotome™ la semaine dernière avec le modèle que vous pouvez voir ci-dessus !

Mais que nenni, fichtre, à quelques secondes d’appuyer sur le bouton, mon prestataire - grand maître ès-injection plastique - m’alerte sur une dépouille insuffisante du côté du clip, qui pouvait potentiellement abîmer sa surface au démoulage.

Stoppez les machines !

Voyons voir… Réfléchissons… La contre-dépouille évitée grâce à cet astucieux placement de fenêtres oblongues fonctionne à merveille, mais, mais-mais-mais… L’ouverture résultante est encore trop à l’aplomb du clip lui-même, occasionnant un risque d’écorchure de sa surface latérale en prenant en considération le jeu toujours possible de la machine après quelques milliers de pièces moulées !

Enfer et damnation, on ne peut pas dans ces conditions lancer la production, ce serait des milliers d’euros dépensés uniquement pour constater que “ça ne va pas durer comme ça, il faut refaire les moules en révisant la dépouille au niveau de la zone anti-contre-dépouille du clip” !

“Qu’à cela ne tienne” - me dis-je subitement dans un éclair que je croyais encore alors être un éclair de génie mais qui était en réalité occulté par un sombre cumulonimbus générateur d’orage - “je vais simplement agrandir le trou anti-contre-dépouille pour éviter cet aplomb qui me provoque avec décidément beaucoup trop d’aplomb ! ”.

Aussitôt pensé aussitôt fait, et voilà les trous oblongs augmentés de quelques dixièmes de millimètres sur leur pourtour pour dégager cette fameuse dépouille. Tout content de moi j’étais. Presque fier, même.

Oui, mais voilà : dans la vie… Bon, vous aurez compris que tout se paye, même quelques dixièmes de millimètres. Ces fentes oblongues servaient aussi à accueillir les ergots stabilisateurs du manche, pour lui éviter de tourner par rapport au peigne-porte-lame lorsque l’ensemble était monté. Avec leur jeu augmenté, le manche bougeait trop. Impossible d’augmenter la taille des ergots puisqu’ils doivent passer dans la fente de la lame standard.

Rien n’allait plus, le déplacement d’une chose entraînant une réaction en chaîne qui finalement déséquilibrait l’ensemble de l’appareil.

Et voilà comment deux dixièmes de millimètres obligent à réviser toute une conception.

On pourrait croire que c’est une mauvaise nouvelle. En fait elle m’a ouvert l’esprit sur une autre solution encore plus performante, donnant naissance à un nouveau modèle qui, en répondant aux exigences techniques de sa fabrication en série, est finalement encore plus élégant !

La photo de cet article permet de voir le dernier modèle avant la fameuse transformation. Pour vous montrer le nouveau modèle, je dois encore attendre de pouvoir valider les prototypes fonctionnels en résine.

À suivre !