Avec les appareils nomades comme les caméras et autres téléphones de plus en plus nombreux dans nos foyers, n'avez-vous jamais pesté contre ces multiprises qui se multiplient en jonchant vos parquets, formant ainsi autant de pièges à moutons que de sournois croche-pieds ?
L'idée est simple : à l'instar des boîtiers verticaux pour vos CD et autres DVD, il s'agit de créer des multiprises verticales à interrupteurs qui viendront se loger dans un coin derrière l'ordinateur et vous permettront de connecter à demeure tous vos chargeurs discrètement.
jeudi 4 juillet 2013
dimanche 12 mai 2013
Coupe-cheveux mécanique
Il est devenu très simple de s'entretenir soi-même les cheveux avec les tondeuses électriques à sabots réglables : vous choisissez la longueur de chevelure que vous souhaitez conserver, et vous pouvez vous réaliser votre coupe en toute sécurité.
Mais si comme moi le moteur électrique vous gêne pour son bruit, son aspect mal-pratique (il faut soit charger la tondeuse, soi la brancher) et d'autres considérations tout aussi honorables comme une certaine éthique écologique ou encore un encombrement débordant, vous avez probablement aussi comme moi cherché une alternative.
Rechercher par conséquent un peigne coupe-cheveux avec des lames de rasoir standards semble évident, et effectivement ce type de peigne existe.
Mais malheureusement sans aucun moyen de régler la longueur de coupe, ou avec des longueurs trop ténues pour qu'elle soient intéressantes, bref des ustensiles finalement fort peu utilisables.
Alors une petite invention toute simple : un peigne-sabot-coupe-cheveux, qui permet de régler la longueur de coupe par une simple translation de son porte-lames dans un gabarit triangulaire.
Mais si comme moi le moteur électrique vous gêne pour son bruit, son aspect mal-pratique (il faut soit charger la tondeuse, soi la brancher) et d'autres considérations tout aussi honorables comme une certaine éthique écologique ou encore un encombrement débordant, vous avez probablement aussi comme moi cherché une alternative.
Rechercher par conséquent un peigne coupe-cheveux avec des lames de rasoir standards semble évident, et effectivement ce type de peigne existe.
Mais malheureusement sans aucun moyen de régler la longueur de coupe, ou avec des longueurs trop ténues pour qu'elle soient intéressantes, bref des ustensiles finalement fort peu utilisables.
Alors une petite invention toute simple : un peigne-sabot-coupe-cheveux, qui permet de régler la longueur de coupe par une simple translation de son porte-lames dans un gabarit triangulaire.
jeudi 9 mai 2013
Brevets, modèles déposés, et cætera...
L'ami bienveillant et inquiet de mes intérêts me pose souvent cette question de bonne foi, quand il réalise le potentiel commercial d'une de mes idées :
"Tu as déposé le brevet ?"
Question à laquelle je réponds systématiquement :
"Ne t'inquiète pas, tous mes travaux sont protégés."
Réponse qui a l'avantage d'être vraie et d'éviter à l'ami en question de subir une trèèèès looooongue explication sur l'état de l'art en matière de protection juridique en propriété intellectuelle et autre propriété industrielle.
Parce que si je dis que je n'ai déposé aucun brevet, s'en suit l'effarement de mon interlocuteur surpris de me surprendre, dans ce qu'il croit être un flagrant-délit d'inconscience. Et je me trouve par conséquent obligé d'expliquer pourquoi et comment je suis loin d'être le fou immature qu'il s'est immédiatement imaginé que je pouvais être.
Donc vous conviendrez que la réponse sus-citée est plus simple et plus courte. :-)
Mais devant les questions de plus en plus nombreuses - parfois teintées d’espionnage industriel il faut bien l'avouer - et les recherches de certains qui ne trouvent pas mes brevets dans les bases de données ad hoc je sens le moment venu pour une petite explication plus pointue de ma politique de protection industrielle.
Brevets :
Il vous faut savoir et comprendre que lors du dépôt de brevet par qui que ce soit, quelle que société que ce soit, et où que ce soit dans le monde, le nom de l'inventeur en personne doit toujours être stipulé par le déposant, qu'il soit lui-même l'inventeur ou pas.
Donc dans le cas où ce "détail" serait oublié par un déposant autre que l'inventeur lui-même, l'inventeur peut très simplement faire invalider le brevet déposé dans la mesure où il peut prouver une antériorité. Aucun déposant, même et surtout le plus indélicat, n'a évidemment intérêt à cela.
Si par contre le dépôt a été fait dans les règles, l'inventeur peut prétendre de fait à des royalties dans la mesure où ses droits d'auteur protègent ses intérêts en tant que créateur.
En outre, on ne peut déposer un brevet que si l'objet du dépôt n'a jamais été rendu public préalablement.
On comprend donc aisément que mes publications sur ce blog constituent la meilleure protection qui puisse être pour mes inventions, et ceci en France comme à l'international.
Marques :
Les néologismes, noms, et autres vocables originaux de ce blog et/ou déposés en noms de domaines sur internet sont ainsi réservés et préservés de leur dépôts par des tiers mal intentionnés ou mal informés.
Donc, si un gentilhomme souhaite exploiter mes fulgurances vocabulatoires autant géniales que rigolotes, il devra passer par une prise de contact avec moi, sinon gare à la loi de son pays ! ;-)
Modèles déposés :
Tout modèle, dessin, plan et autre représentation graphique publié sur ce blog est également réservé et préservé de tout dépôt ou utilisation abusive par un tiers du fait même de sa seule publication.
J'ai choisi de publier mes travaux sur ce blog pour plusieurs raisons simples :
Pour résumer :
vous avez le droit d'utiliser tout le matériel inventé par mes soins que vous trouverez sur ce blog - ou dans une de mes autres publications - sans jamais rien me devoir ni devoir à qui que ce soit, dans la mesure où vous ne gagnez pas d'argent et/ou vous n'en retirez aucune sorte d'intérêt commercial.
Dans tous les autres cas rien n'est interdit non plus ;-) : contactez-moi pour que nous puissions envisager une solution ensemble.
"Tu as déposé le brevet ?"
Question à laquelle je réponds systématiquement :
"Ne t'inquiète pas, tous mes travaux sont protégés."
Réponse qui a l'avantage d'être vraie et d'éviter à l'ami en question de subir une trèèèès looooongue explication sur l'état de l'art en matière de protection juridique en propriété intellectuelle et autre propriété industrielle.
Parce que si je dis que je n'ai déposé aucun brevet, s'en suit l'effarement de mon interlocuteur surpris de me surprendre, dans ce qu'il croit être un flagrant-délit d'inconscience. Et je me trouve par conséquent obligé d'expliquer pourquoi et comment je suis loin d'être le fou immature qu'il s'est immédiatement imaginé que je pouvais être.
Donc vous conviendrez que la réponse sus-citée est plus simple et plus courte. :-)
Mais devant les questions de plus en plus nombreuses - parfois teintées d’espionnage industriel il faut bien l'avouer - et les recherches de certains qui ne trouvent pas mes brevets dans les bases de données ad hoc je sens le moment venu pour une petite explication plus pointue de ma politique de protection industrielle.
Brevets :
Il vous faut savoir et comprendre que lors du dépôt de brevet par qui que ce soit, quelle que société que ce soit, et où que ce soit dans le monde, le nom de l'inventeur en personne doit toujours être stipulé par le déposant, qu'il soit lui-même l'inventeur ou pas.
Donc dans le cas où ce "détail" serait oublié par un déposant autre que l'inventeur lui-même, l'inventeur peut très simplement faire invalider le brevet déposé dans la mesure où il peut prouver une antériorité. Aucun déposant, même et surtout le plus indélicat, n'a évidemment intérêt à cela.
Si par contre le dépôt a été fait dans les règles, l'inventeur peut prétendre de fait à des royalties dans la mesure où ses droits d'auteur protègent ses intérêts en tant que créateur.
En outre, on ne peut déposer un brevet que si l'objet du dépôt n'a jamais été rendu public préalablement.
On comprend donc aisément que mes publications sur ce blog constituent la meilleure protection qui puisse être pour mes inventions, et ceci en France comme à l'international.
Marques :
Les néologismes, noms, et autres vocables originaux de ce blog et/ou déposés en noms de domaines sur internet sont ainsi réservés et préservés de leur dépôts par des tiers mal intentionnés ou mal informés.
Donc, si un gentilhomme souhaite exploiter mes fulgurances vocabulatoires autant géniales que rigolotes, il devra passer par une prise de contact avec moi, sinon gare à la loi de son pays ! ;-)
(vous trouverez un article plus récent spécialement axé sur ma PI à propos des marques ici)
Modèles déposés :
Tout modèle, dessin, plan et autre représentation graphique publié sur ce blog est également réservé et préservé de tout dépôt ou utilisation abusive par un tiers du fait même de sa seule publication.
J'ai choisi de publier mes travaux sur ce blog pour plusieurs raisons simples :
- laisser libre et renseigner quiconque voudrait utiliser mes informations pour ses propres besoins personnels,
- permettre à tout le monde de partager ce qui lui semble intéressant,
- permettre à tout le monde d'utiliser les termes et noms inventés dans leur langage courant,
- permettre à tout le monde d'étudier mes travaux pour leur valeur informative,
- prouver une antériorité de mes recherches et inventions par leur publication datée,
- permettre à tout professionnel de négocier avec moi un développement commercial,
- lutter contre toute exploitation indue et toute appropriation empêchant l'exploitation publique.
Pour résumer :
vous avez le droit d'utiliser tout le matériel inventé par mes soins que vous trouverez sur ce blog - ou dans une de mes autres publications - sans jamais rien me devoir ni devoir à qui que ce soit, dans la mesure où vous ne gagnez pas d'argent et/ou vous n'en retirez aucune sorte d'intérêt commercial.
Dans tous les autres cas rien n'est interdit non plus ;-) : contactez-moi pour que nous puissions envisager une solution ensemble.
mardi 30 avril 2013
Est-ce pression ?
Qui n'a pas rêvé d'un véritable café expresso réussi et donc excellent, tout simplement, sans avoir à s'équiper de la dernière machine à dosettes ou de l'usine à gaz qui pourrait tout aussi bien nous amener dans l'espace (volontairement ou non) ?
Cependant si la moka (appelée aussi "cafetière italienne") nous enchante par un parfum envoûtant et nous envoûte par un gargouillis enchantant, le principe qu'elle utilise (l'eau boue dans le bac inférieur et la vapeur qui s'en dégage pousse l'eau qui traverse le café en remontant dans le bac supérieur) s'il est très ingénieux, ne permet pas ce que permet la haute pression, à savoir un véritable café dit "expresso".
En effet, pour obtenir l'arôme à la fois doux et puissant surmonté d'une crème onctueuse (la "crema") d'un expresso, il faut traverser le café rapidement pour que la percolation se fasse dans les meilleures conditions. Ceci peut être obtenu sous une pression que seules les machines à expresso sont actuellement capables de fournir.
Il y a bien des systèmes qui essaient de les imiter, comme la bien rigolote MokaCrèm ou encore la très astucieuse Brikka, mais la crème obtenue n'est qu'une mousse imitant trop timidement la crema et les arômes développés restent ceux d'un café moka classique.
Normal, avec la première l'émulsion est produite manuellement après la percolation (le passage de l'eau au travers de la poudre de café pour créer le breuvage) qui reste identique à la moka, et avec la deuxième le système de surpression reste encore trop faible, et il intervient toujours uniquement après la percolation pour créer une émulsion sur le café déjà passé...
Bref, il faut trouver autre chose.
Vous allez vous dire : encore un système de machine à café différent ?
Que nenni.
Gardez votre moka, c'est elle qui - avec mon invention - va vous faire votre véritable expresso !
Comment ?
Simplement en rajoutant une petite soupape de surpression en dessous et à l'entrée du tube de l'entonnoir, ce réceptacle où vous mettez votre café.
Le principe est très simple mais perfectionne celui de la moka :
- l'ébullition fait monter la pression dans le bac inférieur, et la soupape bloque la remontée de l'eau jusqu'à une pression optimale de percolateur professionnel.
- une fois cette pression idéale obtenue, la soupape laisse passer l'eau qui remonte donc plus rapidement pour une percolation idéale.
Un véritable expresso avec une moka :
dimanche 4 novembre 2012
Remontoir à échappement pour montre automatique
Vous savez ce qu'est une montre automatique : la montre-bracelet se remonte toute seule grâce aux mouvements que vous faites avec votre poignet pendant vos activités.
Bien sûr de nos jours les montres sont souvent alimentées par une pile, mais beaucoup d'Amateurs restent inconditionnels des montres mécaniques.
Il existe bien sûr des montres de prestige qui sont mécaniques et automatiques, mais on (re)trouve de plus en plus dans le commerce de telles montres à des prix abordables.
Il existe même des systèmes hybrides (par exemple le système "kinetic" de Seiko) qui alimentent mécaniquement et automatiquement un petit générateur d'électricité interne, qui lui-même recharge la batterie, qui délivre à son tour l'énergie ainsi stockée à la montre...
Bref, vous aurez compris que c'est tout un monde de passion et d'enchantement pour ceux qui apprécient l'horlogerie.
Certaines montres automatiques peuvent s'armer (on dit souvent "se remonter") à la main avec leur couronne (communément appelé "le remontoir"), mais d'autres n'offrent pas cette possibilité et on est alors obligé soit de les porter tout le temps, soit de les placer dans un boîtier remontoir spécial qui va simuler les mouvements d'un poignet en activité et les actionner pour leur permettre de continuer à tourner.
On trouve des boîtiers remontoirs dans le commerce, mais ils fonctionnent à l’électricité ce qui personnellement me pose un problème de principe :
pourquoi alimenter en électricité une montre justement conçue pour se passer d'alimentation électrique ?
J'ai donc imaginé un remontoir mécanique en bois.
Le système est basé sur un mécanisme à échappement qui régule la rotation d'une roue entraînée par un poids. C'est donc uniquement la gravité qui lui fournie l'énergie nécessaire.
Fixé à 1,80m de hauteur, ce remontoir permet d'armer une montre automatique sans arrêt pendant une heure, ce qui selon les constructeurs permet à la montre de fonctionner environ une quarantaine d'heures.
On enroule directement le fil du poids à la main, et on place la montre sur le balancier.
Le poids entraîne le déroulement de l'axe du cordeau, qui lui-même entraîne la roue dentée.
Les 33 dents orientées à 45 degrés poussent sur les coussinets à roulement de l'ancre (le "T" en haut du balancier) et entretiennent ainsi le mouvement du balancier tandis qu'icelui va-et-vient sur une fréquence d'environ un battement par seconde.
Une vidéo présentant le système en 3D :
Bien sûr de nos jours les montres sont souvent alimentées par une pile, mais beaucoup d'Amateurs restent inconditionnels des montres mécaniques.
Il existe bien sûr des montres de prestige qui sont mécaniques et automatiques, mais on (re)trouve de plus en plus dans le commerce de telles montres à des prix abordables.
Il existe même des systèmes hybrides (par exemple le système "kinetic" de Seiko) qui alimentent mécaniquement et automatiquement un petit générateur d'électricité interne, qui lui-même recharge la batterie, qui délivre à son tour l'énergie ainsi stockée à la montre...
Bref, vous aurez compris que c'est tout un monde de passion et d'enchantement pour ceux qui apprécient l'horlogerie.
Certaines montres automatiques peuvent s'armer (on dit souvent "se remonter") à la main avec leur couronne (communément appelé "le remontoir"), mais d'autres n'offrent pas cette possibilité et on est alors obligé soit de les porter tout le temps, soit de les placer dans un boîtier remontoir spécial qui va simuler les mouvements d'un poignet en activité et les actionner pour leur permettre de continuer à tourner.
On trouve des boîtiers remontoirs dans le commerce, mais ils fonctionnent à l’électricité ce qui personnellement me pose un problème de principe :
pourquoi alimenter en électricité une montre justement conçue pour se passer d'alimentation électrique ?
J'ai donc imaginé un remontoir mécanique en bois.
Le système est basé sur un mécanisme à échappement qui régule la rotation d'une roue entraînée par un poids. C'est donc uniquement la gravité qui lui fournie l'énergie nécessaire.
Fixé à 1,80m de hauteur, ce remontoir permet d'armer une montre automatique sans arrêt pendant une heure, ce qui selon les constructeurs permet à la montre de fonctionner environ une quarantaine d'heures.
On enroule directement le fil du poids à la main, et on place la montre sur le balancier.
Le poids entraîne le déroulement de l'axe du cordeau, qui lui-même entraîne la roue dentée.
Les 33 dents orientées à 45 degrés poussent sur les coussinets à roulement de l'ancre (le "T" en haut du balancier) et entretiennent ainsi le mouvement du balancier tandis qu'icelui va-et-vient sur une fréquence d'environ un battement par seconde.
Une vidéo présentant le système en 3D :
lundi 29 octobre 2012
Moule à glaçon à démoulage facilement singulier...
On trouve déjà toute sorte de moules à glaçons très design et/ou à "démoulage facile" en silicone notamment, qui en offrant une enveloppe souple tendent à faciliter effectivement le démoulage des glaçons.
Mais avez-vous essayé de démouler juste quelques glaçons directement sur un verre pour éviter la phase "seau à glaçons" aussi pompeuse que malcommode pour offrir rapidement un apéritif improvisé aux amis de passage ?
Avez-vous déjà proposé un verre à votre tendre dulcinée, dans un geste aussi charmant que classe pour joindre en un clin d'œil l'acte à la parole ?
Ça se termine immanquablement par le verre manqué et par un ou plusieurs glaçons sur le sol, non ?
(et je ne vous parle pas du sourire niais qui les accompagne généralement)
Alors une idée de solution simple : un bac à glaçons rigide dont seul le fond est en silicone souple.
Ainsi une simple pression du pouce suffit pour démouler un seul glaçon et alimenter un verre individuellement...
What else ?
Mais avez-vous essayé de démouler juste quelques glaçons directement sur un verre pour éviter la phase "seau à glaçons" aussi pompeuse que malcommode pour offrir rapidement un apéritif improvisé aux amis de passage ?
Avez-vous déjà proposé un verre à votre tendre dulcinée, dans un geste aussi charmant que classe pour joindre en un clin d'œil l'acte à la parole ?
Ça se termine immanquablement par le verre manqué et par un ou plusieurs glaçons sur le sol, non ?
(et je ne vous parle pas du sourire niais qui les accompagne généralement)
Alors une idée de solution simple : un bac à glaçons rigide dont seul le fond est en silicone souple.
Ainsi une simple pression du pouce suffit pour démouler un seul glaçon et alimenter un verre individuellement...
What else ?
jeudi 21 juin 2012
Maintien d'oreillettes de smartphone ou lecteur MP3
Avez-vous déjà essayé d'aller faire votre jogging en vous motivant au son d'une musique rythmée jouée par votre smartphone ?
Avez-vous déjà essayé d'aller faire une "marche-vive" (très bon pour la santé) en écoutant le très progressif Boléro de Maurice Ravel distillé précautionneusement dans vos oreilles délicates par les dernières oreillettes hi-tech de votre excellent lecteur MP3 ?
Ou d'aller faire voler vos cerfs-volants à l'écoute du chœur puissant du 3ème mouvement de la 9ème symphonie de Beethoven (ça exerce pour apprendre à compter) ?
Ou faire du Stand Up Paddle avec des coups de pagaies soutenus et enthousiastes au son du dernier album de Rihana (ça compte aussi) ?
Quelle que soit votre activité remuante et écoutante, combien de fois avez-vous dû "remettre les oreillettes" ou "ajuster les oreillettes", ou "récupérer une oreillette" ou...
Bref, avez-vous remarqué que dans ces moments là on dirait que tout le monde de la haute technologie s'est ligué contre vous pour vous empêcher de profiter pleinement de votre séance d'activité salvatrice ?
La solution avec une nouvelle invention, le "earpieces-holder" : un système de maintien léger qui se place sur votre tête comme un casque à écouteurs : il vient simplement couvrir délicatement les orifices de vos oreilles pour maintenir en douceur vos oreillettes, vous permettant tous les mouvements - du plus extrême au plus vif - sans les perdre.
À suivre...
Avez-vous déjà essayé d'aller faire une "marche-vive" (très bon pour la santé) en écoutant le très progressif Boléro de Maurice Ravel distillé précautionneusement dans vos oreilles délicates par les dernières oreillettes hi-tech de votre excellent lecteur MP3 ?
Ou d'aller faire voler vos cerfs-volants à l'écoute du chœur puissant du 3ème mouvement de la 9ème symphonie de Beethoven (ça exerce pour apprendre à compter) ?
Ou faire du Stand Up Paddle avec des coups de pagaies soutenus et enthousiastes au son du dernier album de Rihana (ça compte aussi) ?
Quelle que soit votre activité remuante et écoutante, combien de fois avez-vous dû "remettre les oreillettes" ou "ajuster les oreillettes", ou "récupérer une oreillette" ou...
Bref, avez-vous remarqué que dans ces moments là on dirait que tout le monde de la haute technologie s'est ligué contre vous pour vous empêcher de profiter pleinement de votre séance d'activité salvatrice ?
La solution avec une nouvelle invention, le "earpieces-holder" : un système de maintien léger qui se place sur votre tête comme un casque à écouteurs : il vient simplement couvrir délicatement les orifices de vos oreilles pour maintenir en douceur vos oreillettes, vous permettant tous les mouvements - du plus extrême au plus vif - sans les perdre.
À suivre...
mercredi 12 janvier 2011
Un échangeur de chaleur pour les anciennes VMC
Vous savez ce qu'est une "VMC" (Ventilation Motorisée Centralisée) : un système d'aspiration de l'air vicié de l'intérieur d'une habitation pour le remplacer par de l'air "neuf" provenant de l'extérieur.
Dans les appartements d'immeubles en France, on trouve ce système quasi systématiquement depuis les années 80.
Vous connaissez le principe de l'échangeur de chaleur dans une maison moderne dite "écologique" ou encore "type développement durable" : on met en contact les tuyaux d'évacuation de l'air intérieur avec les tuyaux d'aspiration de l'air extérieur pour qu'ils échangent leurs calories respectives (en hiver l'air froid extérieur se réchauffe avant d'arriver dans l'habitation, et en été c'est le contraire).
Or, ce système simple et efficace est cruellement manquant sur la majorité des habitations sous VMC, l'air extérieur étant très souvent amené par une simple prise d'air disposée au dessus des ouvertures telles que portes vitrées, fenêtres, etc.
Dans les meilleurs des cas cette prise comporte un filtre, mais pas toujours. En hiver par exemple, cette prise d'air froid fait perdre plusieurs degrés à l'habitation, qui doivent être compensés par plus de chauffage. Couper la VMC n'est pas une bonne solution dans la mesure où ceci apporte plus d'humidité en intérieur, et donc encore plus d'inconfort : dans ce cas on a tendance à chauffer encore plus pour retrouver un confort perdu...
Ce billet présente l'idée d'un "mini échangeur de chaleur" sous forme d'un radiateur prenant son air des prises d'air existantes avant de le laisser pénétrer dans les pièces, et disposé à proximité d'icelles et au dessus des radiateurs de chauffage ou des convecteurs, voir à proximité des souflants (suivant le système de chauffage de l'habitation en question).
Les avantages sont multiples : inertie du radiateur pour conserver la chaleur, emploi direct du réchauffement du chauffage (ou du refroidissement de la climatisation) pour amener l'air extérieur rentrant à température avant qu'il ne l'échange avec l'air ambiant, le tout permettant une moindre consommation dans le système de chauffage et/ou climatisation de l'habitat entier.
L'efficacité sera moins importante qu'un système prévu intrinsèquement par l'architecte car elle ne se servira que de la moitié du principe (échange thermique avec l'air entrant seulement au lieu de l'échange entre l'air entrant et l'air sortant), mais cependant il devrait atténuer les effets pervers de déperdition d'énergies observés avec les anciens systèmes de VMC, et devrait permettre un gain en consommation de l'habitation concernée assez significatif pour justifier son installation.
Dans les appartements d'immeubles en France, on trouve ce système quasi systématiquement depuis les années 80.
Vous connaissez le principe de l'échangeur de chaleur dans une maison moderne dite "écologique" ou encore "type développement durable" : on met en contact les tuyaux d'évacuation de l'air intérieur avec les tuyaux d'aspiration de l'air extérieur pour qu'ils échangent leurs calories respectives (en hiver l'air froid extérieur se réchauffe avant d'arriver dans l'habitation, et en été c'est le contraire).
Or, ce système simple et efficace est cruellement manquant sur la majorité des habitations sous VMC, l'air extérieur étant très souvent amené par une simple prise d'air disposée au dessus des ouvertures telles que portes vitrées, fenêtres, etc.
Dans les meilleurs des cas cette prise comporte un filtre, mais pas toujours. En hiver par exemple, cette prise d'air froid fait perdre plusieurs degrés à l'habitation, qui doivent être compensés par plus de chauffage. Couper la VMC n'est pas une bonne solution dans la mesure où ceci apporte plus d'humidité en intérieur, et donc encore plus d'inconfort : dans ce cas on a tendance à chauffer encore plus pour retrouver un confort perdu...
Ce billet présente l'idée d'un "mini échangeur de chaleur" sous forme d'un radiateur prenant son air des prises d'air existantes avant de le laisser pénétrer dans les pièces, et disposé à proximité d'icelles et au dessus des radiateurs de chauffage ou des convecteurs, voir à proximité des souflants (suivant le système de chauffage de l'habitation en question).
Les avantages sont multiples : inertie du radiateur pour conserver la chaleur, emploi direct du réchauffement du chauffage (ou du refroidissement de la climatisation) pour amener l'air extérieur rentrant à température avant qu'il ne l'échange avec l'air ambiant, le tout permettant une moindre consommation dans le système de chauffage et/ou climatisation de l'habitat entier.
L'efficacité sera moins importante qu'un système prévu intrinsèquement par l'architecte car elle ne se servira que de la moitié du principe (échange thermique avec l'air entrant seulement au lieu de l'échange entre l'air entrant et l'air sortant), mais cependant il devrait atténuer les effets pervers de déperdition d'énergies observés avec les anciens systèmes de VMC, et devrait permettre un gain en consommation de l'habitation concernée assez significatif pour justifier son installation.
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