samedi 11 juin 2016

À propos des noms de marques et autres inventions, designs, etc...

Si vous êtes intéressés par la propriété intellectuelle et/ou la propriété industrielle (aussi dénommée par son doux acronyme "PI"), vous avez déjà probablement trouvé quantité de renseignements sur les coûts et autres démarches administratives de dossiers de déclaration de brevets, certificats d'utilité publique, modèles déposés, marques déposées, œuvres de l'esprit, œuvres littéraires, etc.

Vous avez même peut-être eu la chance de tomber sur l'explication de ma politique de PI et de la comprendre ! ;-)

Et dans ce cas vous comprendrez aussi pourquoi je liste ici quelques "noms de marques" et autres "noms de produits" de mon élaboration : prouver l'antériorité de ma création afin d'éviter aux indélicats profiteurs d'un système dépassé de perdre leur temps à déposer les marques à ma place pour me faire ensuite chanter, comme ça a déjà été le cas dans le passé.
En même temps ça fait un bon prétexte pour expliquer certains de mes choix, et partager avec vous certaines informations qui n'auraient pas leur place ailleurs.

Alomphega : à la fois un pseudonyme important dans mon histoire personnelle, l'enseigne commerciale de mes activités, et un anagramme d'Alpha et Omega signifiant les dimensions temporelles statiques dans lesquelles notre inconscient collectif réside.

Godyoto : jeu de mot (il faut le lire à voix haute pour le comprendre ;-) ) servant de nom à mon invention de godille-auto (je vous avais prévenu) et rendant hommage à un système approchant venant d'Asie, appelé "Yuloh".

ScullMatix : nom américain d'une version de la Godyoto commercialisée à partir des USA. "Scull" veut dire "godiller", et j'avais proposé pour remplacer le classique "O'Matic" de supprimer le "O" trop commun et de remplacer le "c" final par un "x" pour rappeler l'origine française de l'engin (même aux Amériques ils savent qu'Astérix le gaulois est bien français ! ;-) ).

Yugaad : ayant pris l'habitude taquine au cryptage hautement sécurisé de signer "Yug Arpac" tout ce que je pouvais écrire de renversant, et ayant été sidéré par l'intelligence pratique populaire malgré le peu de moyens disponibles qu'on appelle "Jugaad" en Inde, j'ai pensé à ce clin d'œil reprenant à la fois un jeu de mot entre Yug et Jugaad, et rappelant de son double "a" que je suis comme tout le monde et toujours à la recherche du Graal. Pour l'instant ce nom ne sert à rien, mais est-ce bien important ?

CapraTIC : là je n'ose même pas vous expliquer le jeu de mot.

Hyphenix : "hyphen" veut dire "trait-d'union" en anglais, et "phenix" veut dire phénix. Oui, l'oiseau qui malgré avoir brûlé, renaît de ses cendres. Joli, non ?
Le logo aussi, j'aime bien :



Et bien sûr le même principe s'applique à tous les noms stipulés dans les sujets ci-contre, que vous pouvez utiliser comme autant de liens pour sélectionner les articles que vous voulez consulter...





mercredi 17 juin 2015

Eau du robinet = eau de source...

Sans rentrer dans le débat "pour ou contre l'eau du robinet", nous ne pouvons que constater qu'il est toujours préférable de boire de la bonne eau plutôt que de la mauvaise, ne pensez-vous pas ?

Il existe déjà bien sûr quantité de systèmes de filtrage, intégrés à la tuyauterie ou indépendants de tout branchement, électriques, hydrauliques, par décantation, par inertie, par gravité, chimiques, biologiques, etc. Tout ceci n'est pas toujours simple, mais par contre toujours coûteux...

Nous avons travaillé sur le sujet avec le conceptarum, et nous approchons une solution simple et bon marché comme nous les aimons.

Le principal de cette solution existe, même s'il est trop peu connu, et vous pouvez l'utiliser d'ores et déjà chez vous pour filtrer votre eau du robinet et obtenir une eau pure semblable à de l'eau de source :
il s'agit du filtrage par le charbon actif.

Oui, le même que celui qu'on achète pour filtrer l'eau des aquariums pour les poissons.

C'est aussi exactement le même produit que celui que vous pouvez acheter en pharmacie sous forme de granulés ou de poudre à ingérer, dilué dans de l'eau ou un yaourt, pour faciliter votre digestion et débarrasser votre organisme de ses impuretés pour une meilleure santé générale et un meilleur fonctionnement de votre digestion.

Le filtrage s'effectuant par capillarité et non par tamisage, il vous suffit de laisser reposer 24 heures l'équivalent d'une balle de ping-pong de charbon actif dans un litre d'eau pour la débarrasser de toutes ses impuretés. Le plus difficile étant ensuite de récupérer l'eau sans le charbon... (c'est une plaisanterie : si vous avez été assez prévoyants pour avoir au préalable placé la poudre ou les granules de charbon actif dans un sac en tissu attaché par une ficelle de cuisine, rien ne sera plus facile !)

Une recherche sur internet vous confirmera que cette technique était connue non seulement de nos grand-mères, mais aussi des grand-mères d'icelles, et de leurs aïeules, et ainsi de suite jusqu'au temps des pharaons de l'Egypte ancienne !
Vous apprendrez de même lors de vos recherches que les propriétés de captation des impuretés du charbon actif sont même assez puissantes pour en faire un des antipoisons les plus efficaces (oui, contre les vrais poisons, comme par exemple la strychnine chère à Hercule Poirot, ou l'arsenic cher aux vieilles dentelles...).

Bref, le plus dur maintenant va être de trouver le petit sac qui va bien !

Nous plaisantons encore (incorrigibles nous sommes décidément) : le plus dur va être d'attendre le système que le conceptarum met actuellement au point pour faciliter toutes les opérations suscitées et de devoir vous contenter en attendant de votre propre système bricolé maison !

À suivre...




jeudi 11 juin 2015

Coupe-cheveux & taille-barbe

Nous avons presque tous essayé ces sortes de peignes dans lesquels on glisse des lames de rasoir, et qui sont censés nous permettre de nous couper les cheveux (ou entretenir la barbe) sans effort...

Et nous avons presque tous finis par en conclure que d'une part ça fonctionne très mal, d'autre part ça fait aussi très mal : soit en tirant les cheveux, soit en arrachant les poils de barbe !

Au conceptarum nous pensons être sur une piste de solution pour :
1) garder le principe de lame de coupe dans un support de calibration
2) en permettre une utilisation efficace et sans douleur

À suivre...




lundi 14 avril 2014

Quels films, quelles musiques, quels livres... Avez-vous ?

Le concept : un site web sur lequel vous pouvez créer gratuitement votre compte, qui vous permettra de stocker automatiquement par une simple case à cocher chacun de vos films, chacune de vos musiques, et chacun de vos livres.

Inutile de saisir toutes les données comme dans une base de gestion de bibliothèque classique, ici c'est la puissance d'internet qui travaille pour vous : il vous suffit de lancer une recherche sur n'importe lequel des éléments (par exemple un numéro ISBN pour un livre ou un titre pour un film) et vous obtenez automatiquement sa fiche descriptive.

Ensuite une case à cocher pour indiquer que vous l'avez dans votre médiathèque personnelle, et c'est tout !

(Bon, il y aura bien sûr quelques fonctionnalités supplémentaires comme le type de support sur lequel vous avez stocké l'élément en question, le nombre de fois que vous l'avez vu/écouté/lu, etc.)

Comme pour des sites de cinéma ou votre lecteur multimédia, le système ira chercher automatiquement tous les renseignements de l'œuvre dans les bases de données publiques en ligne, et stockera les informations dans votre compte gratuit.

Ainsi non seulement vous aurez à votre disposition le système de gestion de votre médiathèque le plus facile et le plus rapide du monde, mais vous pourrez aussi savoir par exemple avec votre smartphone devant une promotion intéressante si vous avez déjà le titre en question, ou pas... ou vous pourrez lors d'une soirée entre amis avoir accès à tous les renseignements sur toutes les œuvres à votre disposition, ou encore savoir instantanément si vous devez enregistrer le film qui passe à la télé ou si vous l'avez déjà fait, etc., etc., etc. !

jeudi 4 juillet 2013

Multiprises pour multiples chargeurs !

Avec les appareils nomades comme les caméras et autres téléphones de plus en plus nombreux dans nos foyers, n'avez-vous jamais pesté contre ces multiprises qui se multiplient en jonchant vos parquets, formant ainsi autant de pièges à moutons que de sournois croche-pieds ?

L'idée est simple : à l'instar des boîtiers verticaux pour vos CD et autres DVD, il s'agit de créer des multiprises verticales à interrupteurs qui viendront se loger dans un coin derrière l'ordinateur et vous permettront de connecter à demeure tous vos chargeurs discrètement.

dimanche 12 mai 2013

Coupe-cheveux mécanique

Il est devenu très simple de s'entretenir soi-même les cheveux avec les tondeuses électriques à sabots réglables : vous choisissez la longueur de chevelure que vous souhaitez conserver, et vous pouvez vous réaliser votre coupe en toute sécurité.

Mais si comme moi le moteur électrique vous gêne pour son bruit, son aspect mal-pratique (il faut soit charger la tondeuse, soi la brancher) et d'autres considérations tout aussi honorables comme une certaine éthique écologique ou encore un encombrement débordant, vous avez probablement aussi comme moi cherché une alternative.

Rechercher par conséquent un peigne coupe-cheveux avec des lames de rasoir standards semble évident, et effectivement ce type de peigne existe.
Mais malheureusement sans aucun moyen de régler la longueur de coupe, ou avec des longueurs trop ténues pour qu'elle soient intéressantes, bref des ustensiles finalement fort peu utilisables.

Alors une petite invention toute simple : un peigne-sabot-coupe-cheveux, qui permet de régler la longueur de coupe par une simple translation de son porte-lames dans un gabarit triangulaire.


jeudi 9 mai 2013

Brevets, modèles déposés, et cætera...

L'ami bienveillant et inquiet de mes intérêts me pose souvent cette question de bonne foi, quand il réalise le potentiel commercial d'une de mes idées :

"Tu as déposé le brevet ?"
 
Question à laquelle je réponds systématiquement :
"Ne t'inquiète pas, tous mes travaux sont protégés."
 
Réponse qui a l'avantage d'être vraie et d'éviter à l'ami en question de subir une trèèèès looooongue explication sur l'état de l'art en matière de protection juridique en propriété intellectuelle et autre propriété industrielle.
 
Parce que si je dis que je n'ai déposé aucun brevet, s'en suit l'effarement de mon interlocuteur surpris de me surprendre, dans ce qu'il croit être un flagrant-délit d'inconscience. Et je me trouve par conséquent obligé d'expliquer pourquoi et comment je suis loin d'être le fou immature qu'il s'est immédiatement imaginé que je pouvais être.
 
Donc vous conviendrez que la réponse sus-citée est plus simple et plus courte. :-)
 
Mais devant les questions de plus en plus nombreuses - parfois teintées d’espionnage industriel il faut bien l'avouer - et les recherches de certains qui ne trouvent pas mes brevets dans les bases de données ad hoc je sens le moment venu pour une petite explication plus pointue de ma politique de protection industrielle.
 
Brevets :
 
Il vous faut savoir et comprendre que lors du dépôt de brevet par qui que ce soit, quelle que société que ce soit, et où que ce soit dans le monde, le nom de l'inventeur en personne doit toujours être stipulé par le déposant, qu'il soit lui-même l'inventeur ou pas.
 
Donc dans le cas où ce "détail" serait oublié par un déposant autre que l'inventeur lui-même, l'inventeur peut très simplement faire invalider le brevet déposé dans la mesure où il peut prouver une antériorité. Aucun déposant, même et surtout le plus indélicat, n'a évidemment intérêt à cela.
 
Si par contre le dépôt a été fait dans les règles, l'inventeur peut prétendre de fait à des royalties dans la mesure où ses droits d'auteur protègent ses intérêts en tant que créateur.
 
En outre, on ne peut déposer un brevet que si l'objet du dépôt n'a jamais été rendu public préalablement.
On comprend donc aisément que mes publications sur ce blog constituent la meilleure protection qui puisse être pour mes inventions, et ceci en France comme à l'international.
 
Marques :
 
Les néologismes, noms, et autres vocables originaux de ce blog et/ou déposés en noms de domaines sur internet sont ainsi réservés et préservés de leur dépôts par des tiers mal intentionnés ou mal informés.
 
Donc, si un gentilhomme souhaite exploiter mes fulgurances vocabulatoires autant géniales que rigolotes, il devra passer par une prise de contact avec moi, sinon gare à la loi de son pays ! ;-)

(vous trouverez un article plus récent spécialement axé sur ma PI à propos des marques ici)
 
Modèles déposés :
 
Tout modèle, dessin, plan et autre représentation graphique publié sur ce blog est également réservé et préservé de tout dépôt ou utilisation abusive par un tiers du fait même de sa seule publication.


J'ai choisi de publier mes travaux sur ce blog pour plusieurs raisons simples :
  • laisser libre et renseigner quiconque voudrait utiliser mes informations pour ses propres besoins personnels,
  • permettre à tout le monde de partager ce qui lui semble intéressant,
  • permettre à tout le monde d'utiliser les termes et noms inventés dans leur langage courant,
  • permettre à tout le monde d'étudier mes travaux pour leur valeur informative,
  • prouver une antériorité de mes recherches et inventions par leur publication datée,
  • permettre à tout professionnel de négocier avec moi un développement commercial,
  • lutter contre toute exploitation indue et toute appropriation empêchant l'exploitation publique.

Pour résumer :
 
vous avez le droit d'utiliser tout le matériel inventé par mes soins que vous trouverez sur ce blog - ou dans une de mes autres publications - sans jamais rien me devoir ni devoir à qui que ce soit, dans la mesure où vous ne gagnez pas d'argent et/ou vous n'en retirez aucune sorte d'intérêt commercial.
 
Dans tous les autres cas rien n'est interdit non plus ;-) : contactez-moi pour que nous puissions envisager une solution ensemble.






mardi 30 avril 2013

Est-ce pression ?


Qui n'a pas rêvé d'un véritable café expresso réussi et donc excellent, tout simplement, sans avoir à s'équiper de la dernière machine à dosettes ou de l'usine à gaz qui pourrait tout aussi bien nous amener dans l'espace (volontairement ou non) ?

Cependant si la moka (appelée aussi "cafetière italienne") nous enchante par un parfum envoûtant et nous envoûte par un gargouillis enchantant, le principe qu'elle utilise (l'eau boue dans le bac inférieur et la vapeur qui s'en dégage pousse l'eau qui traverse le café en remontant dans le bac supérieur) s'il est très ingénieux, ne permet pas ce que permet la haute pression, à savoir un véritable café dit "expresso".

En effet, pour obtenir l'arôme à la fois doux et puissant surmonté d'une crème onctueuse (la "crema") d'un expresso, il faut traverser le café rapidement pour que la percolation se fasse dans les meilleures conditions. Ceci peut être obtenu sous une pression que seules les machines à expresso sont actuellement capables de fournir.

Il y a bien des systèmes qui essaient de les imiter, comme la bien rigolote MokaCrèm ou encore la très astucieuse Brikka, mais la crème obtenue n'est qu'une mousse imitant trop timidement la crema et les arômes développés restent ceux d'un café moka classique.

Normal, avec la première l'émulsion est produite manuellement après la percolation (le passage de l'eau au travers de la poudre de café pour créer le breuvage) qui reste identique à la moka, et avec la deuxième le système de surpression reste encore trop faible, et il intervient toujours uniquement après la percolation pour créer une émulsion sur le café déjà passé...

Bref, il faut trouver autre chose.

Vous allez vous dire : encore un système de machine à café différent ?
Que nenni.
Gardez votre moka, c'est elle qui - avec mon invention - va vous faire votre véritable expresso !
Comment ?
Simplement en rajoutant une petite soupape de surpression en dessous et à l'entrée du tube de l'entonnoir, ce réceptacle où vous mettez votre café.

Le principe est très simple mais perfectionne celui de la moka :

  1. l'ébullition fait monter la pression dans le bac inférieur, et la soupape bloque la remontée de l'eau jusqu'à une pression optimale de percolateur professionnel.
  2. une fois cette pression idéale obtenue, la soupape laisse passer l'eau qui remonte donc plus rapidement pour une percolation idéale.


Un véritable expresso avec une moka :





Restez branchés pour les prochains billets sur les essais d'un premier prototype...