jeudi 4 juillet 2013

Multiprises pour multiples chargeurs !

Avec les appareils nomades comme les caméras et autres téléphones de plus en plus nombreux dans nos foyers, n'avez-vous jamais pesté contre ces multiprises qui se multiplient en jonchant vos parquets, formant ainsi autant de pièges à moutons que de sournois croche-pieds ?

L'idée est simple : à l'instar des boîtiers verticaux pour vos CD et autres DVD, il s'agit de créer des multiprises verticales à interrupteurs qui viendront se loger dans un coin derrière l'ordinateur et vous permettront de connecter à demeure tous vos chargeurs discrètement.

dimanche 12 mai 2013

Coupe-cheveux mécanique

Il est devenu très simple de s'entretenir soi-même les cheveux avec les tondeuses électriques à sabots réglables : vous choisissez la longueur de chevelure que vous souhaitez conserver, et vous pouvez vous réaliser votre coupe en toute sécurité.

Mais si comme moi le moteur électrique vous gêne pour son bruit, son aspect mal-pratique (il faut soit charger la tondeuse, soi la brancher) et d'autres considérations tout aussi honorables comme une certaine éthique écologique ou encore un encombrement débordant, vous avez probablement aussi comme moi cherché une alternative.

Rechercher par conséquent un peigne coupe-cheveux avec des lames de rasoir standards semble évident, et effectivement ce type de peigne existe.
Mais malheureusement sans aucun moyen de régler la longueur de coupe, ou avec des longueurs trop ténues pour qu'elle soient intéressantes, bref des ustensiles finalement fort peu utilisables.

Alors une petite invention toute simple : un peigne-sabot-coupe-cheveux, qui permet de régler la longueur de coupe par une simple translation de son porte-lames dans un gabarit triangulaire.


jeudi 9 mai 2013

Brevets, modèles déposés, et cætera...

L'ami bienveillant et inquiet de mes intérêts me pose souvent cette question de bonne foi, quand il réalise le potentiel commercial d'une de mes idées :

"Tu as déposé le brevet ?"
 
Question à laquelle je réponds systématiquement :
"Ne t'inquiète pas, tous mes travaux sont protégés."
 
Réponse qui a l'avantage d'être vraie et d'éviter à l'ami en question de subir une trèèèès looooongue explication sur l'état de l'art en matière de protection juridique en propriété intellectuelle et autre propriété industrielle.
 
Parce que si je dis que je n'ai déposé aucun brevet, s'en suit l'effarement de mon interlocuteur surpris de me surprendre, dans ce qu'il croit être un flagrant-délit d'inconscience. Et je me trouve par conséquent obligé d'expliquer pourquoi et comment je suis loin d'être le fou immature qu'il s'est immédiatement imaginé que je pouvais être.
 
Donc vous conviendrez que la réponse sus-citée est plus simple et plus courte. :-)
 
Mais devant les questions de plus en plus nombreuses - parfois teintées d’espionnage industriel il faut bien l'avouer - et les recherches de certains qui ne trouvent pas mes brevets dans les bases de données ad hoc je sens le moment venu pour une petite explication plus pointue de ma politique de protection industrielle.
 
Brevets :
 
Il vous faut savoir et comprendre que lors du dépôt de brevet par qui que ce soit, quelle que société que ce soit, et où que ce soit dans le monde, le nom de l'inventeur en personne doit toujours être stipulé par le déposant, qu'il soit lui-même l'inventeur ou pas.
 
Donc dans le cas où ce "détail" serait oublié par un déposant autre que l'inventeur lui-même, l'inventeur peut très simplement faire invalider le brevet déposé dans la mesure où il peut prouver une antériorité. Aucun déposant, même et surtout le plus indélicat, n'a évidemment intérêt à cela.
 
Si par contre le dépôt a été fait dans les règles, l'inventeur peut prétendre de fait à des royalties dans la mesure où ses droits d'auteur protègent ses intérêts en tant que créateur.
 
En outre, on ne peut déposer un brevet que si l'objet du dépôt n'a jamais été rendu public préalablement.
On comprend donc aisément que mes publications sur ce blog constituent la meilleure protection qui puisse être pour mes inventions, et ceci en France comme à l'international.
 
Marques :
 
Les néologismes, noms, et autres vocables originaux de ce blog et/ou déposés en noms de domaines sur internet sont ainsi réservés et préservés de leur dépôts par des tiers mal intentionnés ou mal informés.
 
Donc, si un gentilhomme souhaite exploiter mes fulgurances vocabulatoires autant géniales que rigolotes, il devra passer par une prise de contact avec moi, sinon gare à la loi de son pays ! ;-)
 
Modèles déposés :
 
Tout modèle, dessin, plan et autre représentation graphique publié sur ce blog est également réservé et préservé de tout dépôt ou utilisation abusive par un tiers du fait même de sa seule publication.


J'ai choisi de publier mes travaux sur ce blog pour plusieurs raisons simples :
  • laisser libre et renseigner quiconque voudrait utiliser mes informations pour ses propres besoins personnels,
  • permettre à tout le monde de partager ce qui lui semble intéressant,
  • permettre à tout le monde d'utiliser les termes et noms inventés dans leur langage courant,
  • permettre à tout le monde d'étudier mes travaux pour leur valeur informative,
  • prouver une antériorité de mes recherches et inventions par leur publication datée,
  • permettre à tout professionnel de négocier avec moi un développement commercial,
  • lutter contre toute exploitation indue et toute appropriation empêchant l'exploitation publique.

Pour résumer :
 
vous avez le droit d'utiliser tout le matériel inventé par mes soins que vous trouverez sur ce blog - ou dans une de mes autres publications - sans jamais rien me devoir ni devoir à qui que ce soit, dans la mesure où vous ne gagnez pas d'argent et/ou vous n'en retirez aucune sorte d'intérêt commercial.
 
Dans tous les autres cas rien n'est interdit non plus ;-) : contactez-moi pour que nous puissions envisager une solution ensemble.

mardi 30 avril 2013

Est-ce pression ?


Qui n'a pas rêvé d'un véritable café expresso réussi et donc excellent, tout simplement, sans avoir à s'équiper de la dernière machine à dosettes ou de l'usine à gaz qui pourrait tout aussi bien nous amener dans l'espace (volontairement ou non) ?

Cependant si la moka (appelée aussi "cafetière italienne") nous enchante par un parfum envoûtant et nous envoûte par un gargouillis enchantant, le principe qu'elle utilise (l'eau boue dans le bac inférieur et la vapeur qui s'en dégage pousse l'eau qui traverse le café en remontant dans le bac supérieur) s'il est très ingénieux, ne permet pas ce que permet la haute pression, à savoir un véritable café dit "expresso".

En effet, pour obtenir l'arôme à la fois doux et puissant surmonté d'une crème onctueuse (la "crema") d'un expresso, il faut traverser le café rapidement pour que la percolation se fasse dans les meilleures conditions. Ceci peut être obtenu sous une pression que seules les machines à expresso sont actuellement capables de fournir.

Il y a bien des systèmes qui essaient de les imiter, comme la bien rigolote MokaCrèm ou encore la très astucieuse Brikka, mais la crème obtenue n'est qu'une mousse imitant trop timidement la crema et les arômes développés restent ceux d'un café moka classique.

Normal, avec la première l'émulsion est produite manuellement après la percolation (le passage de l'eau au travers de la poudre de café pour créer le breuvage) qui reste identique à la moka, et avec la deuxième le système de surpression reste encore trop faible, et il intervient toujours uniquement après la percolation pour créer une émulsion sur le café déjà passé...

Bref, il faut trouver autre chose.

Vous allez vous dire : encore un système de machine à café différent ?
Que nenni.
Gardez votre moka, c'est elle qui - avec mon invention - va vous faire votre véritable expresso !
Comment ?
Simplement en rajoutant une petite soupape de surpression en dessous et à l'entrée du tube de l'entonnoir, ce réceptacle où vous mettez votre café.

Le principe est très simple mais perfectionne celui de la moka :

  1. l'ébullition fait monter la pression dans le bac inférieur, et la soupape bloque la remontée de l'eau jusqu'à une pression optimale de percolateur professionnel.
  2. une fois cette pression idéale obtenue, la soupape laisse passer l'eau qui remonte donc plus rapidement pour une percolation idéale.


Un véritable expresso avec une moka :





Restez branchés pour les prochains billets sur les essais d'un premier prototype...