mercredi 24 octobre 2018

BarberCutter, Stubbleer, and so on...


Ce deuxième prototype du BarberCutter (ou du "Stubbleer" si vous préférez) est un élément déterminant dans la longue route que l’inventeur indépendant doit arpenter pour mener à bien sa mission : en fait de "proof of concept", c’est un échec qui n’a de retentissant que le bruit assourdissant que provoque le fait de ne plus rien y entendre d’un coup !

Bref, vous l’aurez compris, des mois de travail à analyser et à repasser au peigne fin pour comprendre pourquoi « ça ne fonctionne pas ».
Retour à la table d’étude.

Que les navigateurs et autres randonneurs et voyageurs (et même quelques hipsters bien cachés, j’en connais!) me pardonnent, ce n’est pas encore tout de suite qu’ils auront leur système léger d’entretien de barbe légère...






samedi 6 janvier 2018

ITW chez CreaCoffee

CreaCoffee


CreaCoffee, le blog de la conception caféinée et du design raffiné,
proposé par Thibaut Devereaux, excellent designer lui-même et product-manager chez Wichard,
m'a fait l'honneur d'une interview sans langue de bois que vous pouviez consulter là :
http://blog.crea.coffee/16315/guy-capra-alomphega-entrepreneur/

samedi 9 décembre 2017

Alomphega et la World Alliance


Alomphega a été sélectionné pour intégrer la "World Alliance for Efficient Solutions", 
l'organisation mondiale pilotée et dynamisée par Solar Impulse

lundi 2 octobre 2017

Nouvelle version du JetOnTap


Notre R&D sur le JetOnTap continue malgré les vicissitudes d’administrations plus promptes à poser des barrières qu’à ouvrir des portes…

Il est temps maintenant de vous tenir informés des derniers travaux d’Hercule (car c’est bien connu : il avance, Hercule).

Vous avez j’espère déjà apprécié la simplicité d’utilisation du JetOnTap dans la magnifique vidéo du billet précédent, toute en glamour. Ainsi que le magnifique acteur de la vidéo, d‘ailleurs.

L’utilisation du JetOnTap dans la version vue sur cette vidéo est certes très simple, mais on pouvait encore améliorer l’universalité de son utilisation sur tous les types différents de robinets qu’on peut trouver chez soi ou dans les hôtels, les restaurants, les campings… Ainsi que le côté hygiénique de son nettoyage facile, et pourquoi pas également l’aspect pratique de l’envoi postal en vue de la vente par correspondance de l’appareil.

En outre les versions précédentes demandaient de le rincer et de le secouer énergiquement pour le vider et éviter ainsi tout développement bactérien.
Mais bon sang, secouer énergiquement quelque chose peut être pénible au réveil ! (non, là je n’ai aucune vidéo, n’insistez pas)

Alors la nouvelle version sera réalisée dans une feuille plastique (biodégradable), et ceci présente plusieurs avantages non négligeables résumés ici :
1) on pourra rouler ou plier le JetOnTap pour l’emporter aisément partout sur soi
2) on pourra vider le JetOnTap en le roulant ou chassant l’eau doucement d’un revers de main
3) on pourra l’utiliser sur tout type de robinet grâce à une forme plus universelle et un système de mise en pression et évacuation de surpression plus simple et sans aucun effort.


Finalement c’est bien, la lourdeur administrative, ça donne le temps de se remettre à l’ouvrage ! O:-)





dimanche 7 août 2016

Bienvenue au JetOnTap

Vous le savez déjà peut-être, lorsque j'ai eu l'idée d'un jet dentaire pour tous, que j'appelais alors le JetPresso et qui devient désormais le JetOnTap, mon but était de créer un ustensile d'hygiène buccale le plus simple possible à tous les niveaux, le compagnon de votre brosse à dent.

L'idée d'un branchement direct sans bricolage sur le robinet du lavabo me semblait alors d'une limpidité absolue...
Mais il y avait plus simple encore : pas de branchement du tout !




Le travail avance désormais à pas de géants et j'espère pouvoir vous proposer le JetOnTap à l'achat dans quelques mois.

En attendant et pour vous laisser entrevoir sa simplicité d'utilisation, une petite vidéo résumant son mode d'emploi en 14 secondes :



Après des années de maturation pour son invention - dont cette dernière de travail intense - je peux vous confirmer ce que beaucoup d’autres inventeurs ont constaté avant moi : l’extrême simplicité est certes extrêmement complexe à obtenir, mais quelle joie quand on y parvient !





samedi 11 juin 2016

À propos des noms de marques et autres inventions, designs, etc...

Si vous êtes intéressés par la propriété intellectuelle et/ou la propriété industrielle (aussi dénommée par son doux acronyme "PI"), vous avez déjà probablement trouvé quantité de renseignements sur les coûts et autres démarches administratives de dossiers de déclaration de brevets, certificats d'utilité publique, modèles déposés, marques déposées, œuvres de l'esprit, œuvres littéraires, etc.

Vous avez même peut-être eu la chance de tomber sur l'explication de ma politique de PI et de la comprendre ! ;-)

Et dans ce cas vous comprendrez aussi pourquoi je liste ici quelques "noms de marques" et autres "noms de produits" de mon élaboration : prouver l'antériorité de ma création afin d'éviter aux indélicats profiteurs d'un système dépassé de perdre leur temps à déposer les marques à ma place pour me faire ensuite chanter, comme ça a déjà été le cas dans le passé.
En même temps ça fait un bon prétexte pour expliquer certains de mes choix, et partager avec vous certaines informations qui n'auraient pas leur place ailleurs.

Alomphega : à la fois un pseudonyme important dans mon histoire personnelle, l'enseigne commerciale de mes activités, et un anagramme d'Alpha et Omega signifiant les dimensions temporelles statiques dans lesquelles notre inconscient collectif réside.

Godyoto : jeu de mot (il faut le lire à voix haute pour le comprendre ;-) ) servant de nom à mon invention de godille-auto (je vous avais prévenu) et rendant hommage à un système approchant venant d'Asie, appelé "Yuloh".

ScullMatix : nom américain d'une version de la Godyoto commercialisée à partir des USA. "Scull" veut dire "godiller", et j'avais proposé pour remplacer le classique "O'Matic" de supprimer le "O" trop commun et de remplacer le "c" final par un "x" pour rappeler l'origine française de l'engin (même aux Amériques ils savent qu'Astérix le gaulois est bien français ! ;-) ).

Yugaad : ayant pris l'habitude taquine au cryptage hautement sécurisé de signer "Yug Arpac" tout ce que je pouvais écrire de renversant, et ayant été sidéré par l'intelligence pratique populaire malgré le peu de moyens disponibles qu'on appelle "Jugaad" en Inde, j'ai pensé à ce clin d'œil reprenant à la fois un jeu de mot entre Yug et Jugaad, et rappelant de son double "a" que je suis comme tout le monde et toujours à la recherche du Graal. Pour l'instant ce nom ne sert à rien, mais est-ce bien important ?

CapraTIC : là je n'ose même pas vous expliquer le jeu de mot.

Hyphenix : "hyphen" veut dire "trait-d'union" en anglais, et "phenix" veut dire phénix. Oui, l'oiseau qui malgré avoir brûlé, renaît de ses cendres. Joli, non ?
Le logo aussi, j'aime bien :



Et bien sûr le même principe s'applique à tous les noms stipulés dans les sujets ci-contre, que vous pouvez utiliser comme autant de liens pour sélectionner les articles que vous voulez consulter...





mercredi 17 juin 2015

Eau du robinet = eau de source...

Sans rentrer dans le débat "pour ou contre l'eau du robinet", nous ne pouvons que constater qu'il est toujours préférable de boire de la bonne eau plutôt que de la mauvaise, ne pensez-vous pas ?

Il existe déjà bien sûr quantité de systèmes de filtrage, intégrés à la tuyauterie ou indépendants de tout branchement, électriques, hydrauliques, par décantation, par inertie, par gravité, chimiques, biologiques, etc. Tout ceci n'est pas toujours simple, mais par contre toujours coûteux...

Nous avons travaillé sur le sujet avec le conceptarum, et nous approchons une solution simple et bon marché comme nous les aimons.

Le principal de cette solution existe, même s'il est trop peu connu, et vous pouvez l'utiliser d'ores et déjà chez vous pour filtrer votre eau du robinet et obtenir une eau pure semblable à de l'eau de source :
il s'agit du filtrage par le charbon actif.

Oui, le même que celui qu'on achète pour filtrer l'eau des aquariums pour les poissons.

C'est aussi exactement le même produit que celui que vous pouvez acheter en pharmacie sous forme de granulés ou de poudre à ingérer, dilué dans de l'eau ou un yaourt, pour faciliter votre digestion et débarrasser votre organisme de ses impuretés pour une meilleure santé générale et un meilleur fonctionnement de votre digestion.

Le filtrage s'effectuant par capillarité et non par tamisage, il vous suffit de laisser reposer 24 heures l'équivalent d'une balle de ping-pong de charbon actif dans un litre d'eau pour la débarrasser de toutes ses impuretés. Le plus difficile étant ensuite de récupérer l'eau sans le charbon... (c'est une plaisanterie : si vous avez été assez prévoyants pour avoir au préalable placé la poudre ou les granules de charbon actif dans un sac en tissu attaché par une ficelle de cuisine, rien ne sera plus facile !)

Une recherche sur internet vous confirmera que cette technique était connue non seulement de nos grand-mères, mais aussi des grand-mères d'icelles, et de leurs aïeules, et ainsi de suite jusqu'au temps des pharaons de l'Egypte ancienne !
Vous apprendrez de même lors de vos recherches que les propriétés de captation des impuretés du charbon actif sont même assez puissantes pour en faire un des antipoisons les plus efficaces (oui, contre les vrais poisons, comme par exemple la strychnine chère à Hercule Poirot, ou l'arsenic cher aux vieilles dentelles...).

Bref, le plus dur maintenant va être de trouver le petit sac qui va bien !

Nous plaisantons encore (incorrigibles nous sommes décidément) : le plus dur va être d'attendre le système que le conceptarum met actuellement au point pour faciliter toutes les opérations suscitées et de devoir vous contenter en attendant de votre propre système bricolé maison !

À suivre...




jeudi 11 juin 2015

Coupe-cheveux & taille-barbe

Nous avons presque tous essayé ces sortes de peignes dans lesquels on glisse des lames de rasoir, et qui sont censés nous permettre de nous couper les cheveux (ou entretenir la barbe) sans effort...

Et nous avons presque tous finis par en conclure que d'une part ça fonctionne très mal, d'autre part ça fait aussi très mal : soit en tirant les cheveux, soit en arrachant les poils de barbe !

Au conceptarum nous pensons être sur une piste de solution pour :
1) garder le principe de lame de coupe dans un support de calibration
2) en permettre une utilisation efficace et sans douleur

À suivre...